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Mauvaises expériences, bonnes leçons

  • Photo du rédacteur: Christian Cebotari
    Christian Cebotari
  • 28 janv.
  • 3 min de lecture

J'ai toujours été un peu paranoïaque quand il s'agit de commencer de nouvelles choses, et cette paranoïa s'est aussi invitée dans mon business.


À chaque nouveau client, mon esprit s’emballe, cherchant toutes les façons possibles dont je pourrais échouer… ou me faire avoir.


Un peu de paranoïa en business, ce n’est pas forcément un défaut. C’est un mécanisme de survie.

Mais cette paranoïa, elle ne vient pas de nulle part. Elle vient d’une histoire bien précise...


Un homme douteux qui marche avec une valise

Une leçon coûteuse


Il y a quelque temps, j’ai pris un client. Appelons-le M. X.


Dès le départ, j'avais des doutes. Son parcours me semblait instable – il changeait de profession comme on change de chemise. Et cette fois, le site qu’il voulait que je lui crée était pour… un service de lecture de lignes de la main.


Mais bon, de l’argent c’est de l’argent.


Et quand on débute dans le business, c’est dur de dire non.


Il avait besoin d’un site, et j’étais motivé à livrer un excellent travail. Il se montrait poli, professionnel, et il disait apprécier mon travail.


« Mec, tu me sauves la vie », me disait-il. « Ce site va être la base de mon business. »


Ça faisait du bien. Trop, peut-être.


J’ai construit le site, j’ai passé des heures à peaufiner chaque détail. J’ai même ajouté quelques publicités Meta. Après tout, il faudra bien attirer du trafic à ce site, non ?


Une fois le site livré, il m’a dit : « Je te rappelle dans quelques semaines pour discuter des prochaines étapes et des améliorations. On gérera tout ça. »


Mais cet appel n’est jamais venu.


Ce qui est venu à la place ? Le silence radio.


Pendant ce temps, il a lancé le site.


Il l’a utilisé comme si tout lui appartenait (parce que techniquement, c’était le cas). Et vous savez ce qu’il n’a pas fait ? Me payer.


Oui, j’ai perdu 600 dollars. Il ne m’est resté qu’une facture impayée et un goût amer dans la bouche.


La dure réalité


Morale de l’histoire ?


On ne peut pas faire une bonne affaire avec une mauvaise personne. Peu importe la qualité de votre pitch, votre processus, ou à quel point vous pensez bien cerner les gens. Certains n’ont qu’un seul objectif : vous rouler dans la farine.


Pourquoi je sélectionne mes clients avec soin


Aujourd’hui, je ne me contente plus d’accepter des clients – je les choisis. Avant de commencer, on discute. On s’assure qu’on est sur la même longueur d’onde, qu’il y a de la confiance, et qu’ils ne sont pas un nouveau M. X.


Si je ressens le moindre mauvais pressentiment ? Je passe mon chemin. Peu importe le montant qu’ils offrent.


Parce qu’au final : la vie est trop courte pour gérer des escrocs.


Et vous ?


Si vous avez une entreprise et que vous êtes prêt à passer au niveau supérieur – que ce soit avec le marketing, la stratégie de marque ou en écrasant tout sur le web – mon équipe et moi, on peut vous aider.


Mais uniquement si on est compatibles.


Pas de pression, pas d’obligation. Juste une conversation pour voir si on peut vraiment booster votre croissance.


👉 Remplissez ce formulaire et discutons de votre stratégie marketing.


P.S. Ne laissez pas les mauvaises personnes vous faire perdre votre temps, votre argent ou votre énergie. Travaillez avec des gens de confiance – et voyez à quel point le succès devient plus simple.

 
 
 

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